Malgré de récents changements positifs dans certaines des énormes pêcheries du monde, les problèmes de surpêche et de destruction d’habitat restent des menaces très réelles pour les ressources marines planétaires.
En poursuivant cette série, nous reprenons l’étude du récit biblique sur les fils et petits-fils d’Abraham. Les promesses de Dieu à l’égard du fidèle patriarche allaient s’accomplir à travers l’une des branches de sa famille, mais son histoire n’est pas exempte d’intrigues et de duperies.
L’influence d’Augustin sur l’Église chrétienne, et sur la société occidentale en général, est reconnue par les chercheurs et les théologiens. Mais avec le recul, ses lignes philosophiques n’ont peut-être jeté qu’un maigre éclairage.
Toutes sortes de convictions religieuses ont quelque chose à dire sur ce qui se passe après la mort, et la plupart professent que, comme nous sommes humains, notre âme est immortelle. Mais d’où vient cette idée ? Est-elle d’origine biblique ?
C’est en 1947 que l’expression « l’âge de l’anxiété » est apparue en titre d’un poème de W. H. Auden. Elle est devenue populaire, pas tant à cause de la teneur du poème que parce qu’elle résumait apparemment la situation générale marquée par deux conflits mondiaux et l’atrocité des nouvelles armes apocalyptiques utilisées.
Le problème du mal traverse les siècles : si Dieu est à la fois aimant et tout-puissant, pourquoi n’empêche-t-il pas le mal en ce monde ? Et ce qui est plus troublant encore pour beaucoup, c’est la raison pour laquelle, d’après le livre de l’Apocalypse, il s’engage lui-même dans une guerre totale. Comment comprendre le rapport de Dieu avec la violence ?
Notre étude de la Genèse met cette fois en lumière plusieurs épisodes de la vie du patriarche Abraham à la suite de la promesse divine de faire de ses descendants une grande nation.
Au moment où une nouvelle génération s’apprête à affronter le monde, il est évident que ces jeunes adultes n’ont pas pris au sérieux les enseignements postmodernes de leurs parents sur la morale : pour la plupart d'entre eux, c’est « chacun pour soi ». Alors peut-il encore exister aujourd’hui une conception commune du bien et du mal ?
Dans la suite de notre étude de la Genèse, nous reprenons le récit biblique avec Nimrod et la tour de Babel, pour aller jusqu’à Abraham et au début de l’époque des patriarches.
Jusqu’à quel point un individu peut-il maîtriser les circonstances de son décès ? L’autonomie personnelle absolue est-elle, même dans la mort, l’aspect le plus important de la vie ?
Dans ce deuxième article de notre étude de la Genèse, nous allons suivre le premier périple de l’humanité, en partant de l’environnement idyllique du jardin d’Éden pour aboutir à la vie urbaine de la cité de Babylone, deux millénaires plus tard.