Vision examine quatre domaines de préoccupations mondiales, des sujets qui, s’ils ne sont ni traités ni résolus, contribueront à la fin de l’humanité. Jusqu’où faudra-t-il aller pour régler les problèmes les plus urgents auxquels les sociétés modernes sont confrontées ?
« La vérité trébuche sur la place publique, disait un prophète des temps anciens à son peuple. » Il aurait tout aussi bien pu parler du monde d’aujourd’hui.
Entretien de Vision avec Donatella Di Cesare, philosophe et universitaire, auteure de deux livres récents sur les circonstances menaçant le statu quo mondial.
Mettons de côté l’aérographe de beauté pour regarder de plus près cette personne, ce « Soi », et voyons d’abord pourquoi nous pensons avoir besoin d’un aérographe.
Vision propose une critique de l’ouvrage de Donatella Di Cesare intitulé Resident Foreigners et publié en 2020, dans lequel elle met en avant une nouvelle philosophie des migrations.
Des millions de personnes ont désormais recours aux techniques de procréation pour avoir des enfants. Quel sera l’impact de la FIV et de la sélection d’embryons sur l’avenir de la famille et de la société ?
Nombreux sont les adultes immatures qui vivent à la merci d’émotions négatives dans le monde d’aujourd’hui. L’autocritique honnête est la clé pour faire voler en éclat toute fausse image de soi. Mais par où commencer ?
2ème partie : Dans une interview de David Hulme avec Achim Dobermann de Rothamsted Research, les deux hommes discutent de la nécessité de faire évoluer l’agriculture si nous souhaitons pouvoir nourrir la population grandissante du monde.
On dit souvent que c’est l’avidité qui fait tourner le monde. S’il n’est pas toujours facile de lutter contre ce penchant si naturel chez l’être humain, les bénéfices qui en découlent sont considérables.
Les solutions aux nombreuses menaces existentielles auxquelles le monde est aujourd’hui confronté semblent hors d’atteinte, et cela est dû en grande partie à notre nature humaine. Que faire ?
Dans une interview de David Hulme avec Achim Dobermann de Rothamsted Research, les deux hommes discutent des effets de l’agriculture sur notre planète et de la nécessité d’évoluer si nous souhaitons pouvoir nourrir la population grandissante du monde.
Neuroscientifique à Stanford, William B. Hurlbut nous parle de ses contacts avec le chercheur chinois qui a créé les premiers bébés génétiquement modifiés au monde et des conséquences de cette expérience.