Paroles de sagesse
Qu'il ait été face à ses disciples ou à ses ennemis, Jésus transmettait les qualités comportementales essentielles de la piété.
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(PARTIE 10)
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La trahison et la mort imminentes qui menaçaient Jésus-Christ était quelque chose d’incompréhensible pour ses disciples, même lorsqu’il leur racontait exactement ce qui allait lui arriver. Quelle en était la raison ?
L’évangéliste Luc écrit : « Mais les disciples ne comprenaient pas cette parole ; elle était voilée pour eux, afin qu’ils n’en aient pas le sens ; et ils craignaient de l’interroger à ce sujet » (Luc 9 : 45, Nouvelle Édition de Genève 1979, sauf indication contraire). À l’époque qui allait conduire à la crucifixion de Jésus, il y eut un moment où la réalité de ce qui était à venir fut cachée à ses partisans. Peut-être était-ce une façon pour Dieu de préserver le groupe encore un peu.
La conversation sur la mort de Jésus se déroula sur la route, entre ? Césarée de Philippe et Capernaüm. Les disciples avaient accompagné Jésus dans les montagnes du nord du pays, et trois d’entre eux avait fait l’expérience peu commune d’une vision de leur maître au royaume de Dieu. Ce fut un événement à nul autre pareil, événement qui représenterait un point d’ancrage important pour leur foi dans les années futures.
Une fois les disciples de retour à Capernaüm, des collecteurs d’impôts s’approchèrent de Pierre et demandèrent si Jésus payait son dû au temple. C’était indubitablement un piège pour savoir si ce dernier apportait son soutien au gouvernement religieux. Pierre leur répondit que Jésus réglait effectivement la taxe. Quand celui-ci entendit la requête, il dit à Pierre d’aller jusqu’au lac tout proche pour y jeter une ligne ; il attraperait un poisson portant une pièce de monnaie dans sa bouche, et pourrait alors régler aux collecteurs la somme nécessaire (Matthieu 17 : 24-27).
Jésus savait qu’en tant que Fils de Dieu, il n’avait pas vraiment à payer la taxe du temple, comme le montre sa conversation avec Pierre. En effet, Jésus signala que les disciples n’y étaient pas contraints non plus, étant des sujets du futur royaume de Dieu. Néanmoins, il voulut créer un exemple de soumission aux lois du pays et s’acquitta de la taxe avec de l’argent obtenu d’un miracle.
TELS DES ENFANTS OU DES BREBIS
Cette période du ministère de Jésus est marquée davantage par un enseignement intensif auprès de ses disciples que par un échange avec les foules. Il savait qu’il lui restait peu de temps, sans doute environ un an. C’était le moment d’instruire aussi parfaitement que possible ses partisans les plus proches.
Une autre occasion se présenta lorsqu’ils le questionnèrent à la suite d’un différend entre eux : « Qui donc est le plus grand dans le royaume des cieux ? ». En fait, ils s’étaient querellés pour savoir qui d’entre eux serait le plus grand. Leur interrogation trahissait une lacune fondamentale dans leur compréhension de ce qu’était réellement le royaume de Dieu.
Jésus fut en mesure de le montrer en plaçant un jeune enfant au milieu d’eux et en disant : « Je vous le dis en vérité, si vous ne vous convertissez et si vous ne devenez comme les petits enfants, vous n’entrerez pas dans le royaume des cieux. C’est pourquoi, quiconque se rendra humble comme ce petit enfant sera le plus grand dans le royaume des cieux. Et quiconque reçoit en mon nom un petit enfant comme celui-ci me reçoit moi-même » (Matthieu 18 : 1-5).
Ils s'étaient disputés pour connaître le plus grand parmi eux et Jésus leur disait que « celui qui est le plus petit parmi (eux) tous, c'est celui-là qui est grand. »
Comme tant d’êtres humains, les disciples s’égaraient dans leur lutte pour le pouvoir et le prestige. Ils ne voyaient pas que leur maître n’était intéressé ni par l’un ni par l’autre. L’exemple de l’enfant représentait une sévère correction pour leur égocentrisme intellectuel. Ils s’étaient disputés pour connaître le plus grand parmi eux et Jésus leur disait que « celui qui est le plus petit parmi [eux] tous, c’est celui-là qui est grand » (Luc 9 : 48). La clé inattendue de la grandeur était l’humilité. C’était aussi une nécessité pour entrer dans le royaume céleste.
Jean posa ensuite une question sur un homme qui n’était pas avec les disciples, mais qui réalisaient des œuvres similaires. En fait, il voulait l’empêcher de continuer. Jésus lui répondit de se montrer plus généreux et de ne pas interdire à cet homme de faire le bien au nom de Jésus. Il ne dit pas qu’il fallait se joindre à lui ni l’accueillir, seulement qu’il fallait lui permettre de faire son œuvre de bonté. Là encore, Jésus avertissait les disciples de ne rien faire qui puisse pousser les petits à pécher : il vaudrait mieux, pour ceux qui le feraient, être jetés à la mer une meule attachée au cou (Marc 9 : 38-42).
L’avertissement suivant concernait la possibilité qu’un désir physique entrave la quête du royaume de Dieu. Nombre de choses font que les gens deviennent pécheurs, mais aucune ne vaut de supplanter la préférence accordée au royaume divin. Selon Jésus, mieux vaut entrer au royaume avec un handicap physique que de faillir en laissant notre vie prendre une orientation matérialiste (Matthieu 18 : 7-9).
En outre, Jésus estimait qu’il était très important pour les disciples d’apprendre le service à l’égard de l’humanité. Il demanda si un berger n’abandonnait pas le troupeau pour retrouver la brebis égarée. Le bon berger qu’il dépeint est très soucieux des animaux dont il s’occupe, ce qui le conduit à des recherches intensives pour retrouver celle de ses cent bêtes qui s’est perdue (versets 12-14). C’était démontrer la préoccupation de Dieu pour le plus petit d’entre nous.
RÉSOLUTION DES DIFFÉRENDS
Un des aspects les plus difficiles des rapports humains réside dans l’apprentissage du pardon. Quand quelqu’un a mal agi à notre encontre, que devons-nous faire ?
Alors qu’il était encore à Capernaüm, Jésus professa à ce sujet. Évidemment, il avait à traiter ce problème chronique à son époque. Il dit à ses disciples qui n’étaient pas encore convertis : « Si ton frère a péché, va et reprends-le entre toi et lui seul. S’il t’écoute, tu as gagné ton frère » (verset 15).
Ce que font la plupart des gens, bien sûr, c’est tout le contraire. Ils vont voir les autres pour se plaindre de leur ami, de leur proche ou de leur patron. Ils s’adressent rarement à la personne qui a péché vis-à-vis d’eux, que la faute soit réelle ou subjective. Il en résulte une atmosphère empoisonnée et l’implication de gens qui n’étaient pas concernés auparavant.
Jésus en profita pour instruire ses disciples sur le fait que, grâce à une démarche visant à résoudre les différends, on pouvait remédier à une détérioration des relations. Laisser s’envenimer des ressentiments envers autrui aggravait les choses pour tout le monde.
Pourtant, que devons-nous faire si la personne à qui nous adressons notre récrimination ne nous entend pas ? Jésus répond : « Mais, s’il ne t’écoute pas, prends avec toi une ou deux personnes, afin que toute l’affaire se règle sur la déclaration de deux ou de trois témoins » (verset 16).
En invoquant le principe de l’Ancien Testament exigeant que les faits soient établis devant témoins, Jésus démontrait qu’un problème privé non résolu concernant des offenses personnelles entre deux individus devait s’élargir si une réconciliation ne pouvait s’effectuer en particulier. Cela implique une volonté de progresser des deux côtés, et quand le problème ne peut être réglé à ce niveau, alors Jésus annonce : « S’il refuse de les écouter, dis-le à l’Église ; et s’il refuse aussi d’écouter l’Église, qu’il soit pour toi comme un païen et un publicain » (verset 17).
Le problème porte évidemment sur le péché à l’encontre d’autrui. En l’absence de péché, il n’y a pas lieu à débat ni offense. S’il y a péché démontrable et si celui qui a péché refuse d’entendre même un groupe plus large, alors cette personne doit être traitée comme un non-converti.
Confirmant aux disciples que sa relation avec eux était solide et fiable, Jésus ajouta deux autres idées : « Je vous le dis en vérité, tout ce que vous lierez sur la terre sera lié dans le ciel, et tout ce que vous délierez sur la terre sera délié dans le ciel. Je vous dis encore que, si deux d’entre vous s’accordent sur la terre pour demander une chose quelconque, elle leur sera accordée par mon Père qui est dans les cieux » (versets 18-19). Autrement dit, l’Église qui allait voir le jour bientôt et que les disciples n’avait pas encore vraiment appréhendée, serait étroitement associée à Jésus et à son Père. Les disciples pouvaient être sûrs que leurs décisions au nom de la communauté religieuse trouveraient un appui, et que même un petit groupe d’entre eux assemblé devant Dieu serait proche de lui.
La question du pardon troublait encore manifestement Pierre, car il demanda : « Seigneur, combien de fois pardonnerai-je à mon frère, lorsqu’il péchera contre moi ? Sera-ce jusqu’à sept fois ? »
Pierre voulait restreindre le pardon que nous sommes censés étendre à notre prochain lorsqu'il péche contre nous. Jésus expliqua clairement que notre pardon devait être sans limite.
Pierre voulait restreindre le pardon que nous sommes censés étendre à notre prochain lorsqu’il pèche contre nous. Jésus expliqua clairement que notre pardon devait être sans limite en répondant : « Je ne te dis pas jusqu’à sept fois, mais jusqu’à soixante-dix fois sept fois » (versets 21-22). Ici, il ne s’agit pas de dire qu’en cas d’impénitence, nous pouvons pardonner ; il nous faut alors nous comporter en étant toujours disposés à pardonner, sans garder d’animosité.
Jésus prouva la véracité de ce qu’il disait en racontant l’histoire d’un homme que son maître avait absous d’une énorme dette de plusieurs millions et qui, après un revirement, fit emprisonner un de ses compagnons qui lui devait une somme insignifiante. Il en résulta que l’homme fut jeté en prison par son maître et obligé de rembourser les millions. Revenant au thème du pardon et de la miséricorde, Jésus dit : « C’est ainsi que mon Père céleste vous traitera, si chacun de vous ne pardonne à son frère de tout son cœur » (verset 23-35).
PRIORITÉ AUX CHOSES IMPORTANTES
Tout le monde ne reconnaissait pas Jésus pour qui il était. Nous l’avons déjà vu bien souvent dans cette série. Même ses disciples ne faisaient que commencer à comprendre après un laps de temps considérable à ses côtés.
Sans doute n’est-il pas surprenant que sa famille connût la même incrédulité. Juste avant la célébration religieuse automnale appelée la fête des Tabernacles, ses frères lui dirent : « Pars d’ici, et va en Judée, afin que tes disciples voient aussi les œuvres que tu fais. Personne n’agit en secret, lorsqu’il désire paraître : si tu fais ces choses, montre-toi toi-même au monde ». L’évangéliste Jean ajoute ici : « Car ses frères non plus ne croyaient pas en lui » (Jean 7 : 2-5).
Jésus leur répondit qu’ils feraient bien d’aller à la fête, mais que lui ne se rendrait pas encore à Jérusalem. Il savait que ce n’était pas le bon moment pour une apparition en public. Après le départ de ses frères, il entama le trajet vers la ville, mais en secret.
En chemin, il traversa la Samarie où, auparavant, il avait rencontré la femme près du puits et lui avait déclaré qu’il était le Christ ; plusieurs de ses concitoyens avait aussi reconnu Jésus comme le Sauveur du monde. Désormais, l’accueil était différent. Lorsque des messagers partirent en avant pour préparer son arrivée dans un village samaritain, ils furent déçus. Les villageois n’en voulaient pas, car Jésus allait à Jérusalem pour ses dévotions. D’après les Samaritains, c’était le mont Garizim, situé sur leur territoire, qui devait être le lieu d’adoration de Dieu, non Jérusalem.
Voyant cela, Jacques et Jean, surnommés pertinemment les Fils du tonnerre, se montrèrent vindicatifs et demandèrent : « Seigneur, veux-tu que nous commandions que le feu descende du ciel et les consume ? ».
Jésus réagit en les réprimandant : « Vous ne savez de quel esprit vous êtes animés. Car le Fils de l’homme est venu, non pour perdre les âmes des hommes, mais pour les sauver » (Luc 9 : 51-56).
Sur la route qui les menait à un autre village, un docteur de la loi se dirigea vers Jésus et lui annonça qu’il le suivrait où qu’il aille. Jésus souligna combien la qualité de disciple coûtait cher, car son mode de vie était celui du sacrifice de soi et du dévouement (Matthieu 8 : 19-22). Il dit aussi que « quiconque met la main à la charrue, et regarde en arrière, n’est pas propre au royaume de Dieu » (Luc 9 : 62).
C’était peut-être une remarque sur le propre rôle de Christ, faisant allusion à sa mort prochaine. Il savait qu’il devait se concentrer sur sa résolution première.
DIEU AVEC NOUS ?
Quand Jésus arriva à Jérusalem, la foule était déjà en train de s’enquérir de lui. Il était l’objet d’abondantes discussions. Certains disaient qu’il était le Messie, enfin arrivé. D’autres prétendaient que ce ne pouvait être lui puisque qu’on ne savait rien des origines du Messie et que cet homme venait de Galilée.
Jésus expliqua aux chefs religieux présents parmi la foule qu’il enseignait uniquement selon les souhaits de son Père. Il ne professait pas ses idées personnelles. Selon lui, telle était la marque d’un homme qui est un serviteur de Dieu.
Au cours de l’une des discussions qu’il eut au milieu de la semaine de la fête des Tabernacles, Jésus expliqua aux chefs religieux présents parmi la foule qu’il enseignait uniquement selon les souhaits de son Père. Il ne professait pas ses idées personnelles. Selon lui, telle était la marque d’un homme qui est un serviteur de Dieu.
Il continua en disant que les chefs religieux qui étaient en train d’écouter tentaient de l’éliminer. Ils lui répondirent qu’il était fou – possédé par un démon – pour proférer une telle allégation.
Cependant, d’autres avaient entendu la même chose et conclu que les autorités devaient penser qu’il était véritablement le Christ, sinon elles feraient quelque chose contre lui. Certains s’interrogeaient : « Le Christ, quand il viendra, fera-t-il plus de miracles que n’en a fait celui-ci ? » (Jean 7 : 11-31).
Ce genre de discours troublait les Pharisiens, lesquels envoyèrent des gardes du temple arrêter Jésus.
Pour réponse, celui-ci annonça qu’il n’était avec eux que pour un court moment et allait en un lieu où ils ne pourraient ni le trouver ni se rendre eux-mêmes.
C’était une énigme pour la foule. Elle s’étonnait : « Où ira-t-il, pour que nous ne le trouvions pas ? Ira-t-il parmi ceux qui sont dispersés chez les Grecs, et enseignera-t-il les Grecs ? Que signifie cette parole qu’il a dite : Vous me chercherez et vous ne me trouverez pas, et vous ne pouvez venir où je serai ? » (versets 32-36).
Le dernier jour de la fête, Jésus fit une déclaration publique sur l’accessibilité de l’Esprit Saint. C’était là une vérité nouvelle sensationnelle.
Il annonça : « Si quelqu’un a soif, qu’il vienne à moi, et qu’il boive. Celui qui croit en moi, des fleuves d’eau vive couleront de son sein, comme dit l’Écriture » (versets 37-38).
Que voulait-il dire par là ? Jean écrit : « Il dit cela de l’Esprit que devaient recevoir ceux qui croiraient en lui ; car l’Esprit n’était pas encore, parce que Jésus n’avait encore été glorifié » (verset 39).
Plusieurs personnes, entendant cela, conclurent que Jésus était celui qu’avait annoncé Moïse. Ils disaient : « Celui-ci est vraiment le prophète » ; d’autres affirmaient : « C’est le Christ ». Néanmoins, d’autres encore arguaient que Christ devait venir de Bethléem, alors que cet homme était originaire de Nazareth. Ils ne connaissaient rien de sa naissance, contrairement à nous aujourd’hui. En conséquence, les gens étaient divisés à son propos. Même les gardes du temple, troublés, ne voulaient pas se saisir de lui. Les Pharisiens déclarèrent que ni aucun d’eux ni les gouvernants ne croyaient en lui, alors pourquoi la foule le ferait-elle ? C’était un argument médiocre. Ceux qui étaient vraiment convaincus n’avaient besoin ni de la permission ni de l’agrément des autorités (versets 40-49).
Cependant, l’un des dirigeants avait déjà rencontré Jésus. Il s’appelait Nicodème. À son avis, il était plus sage d’entendre ce que Jésus avait à dire avant de le condamner sans attendre. Ses collègues répliquèrent avec dédain : « Es-tu aussi Galiléen ? Examine, et tu verras que de la Galilée il ne sort point de prophète » (versets 50-52).
Ce qui se déroulait était caractéristique de la scission provoquée quand certains reconnaissent l’œuvre de Dieu, et d’autres n’y parviennent pas.
DES PIERRES À JETER
À ce stade des efforts d’harmonisation des quatre Évangiles, celui de Jean nous soumet un défi. Il contient l’histoire d’une femme arrêtée en flagrant-délit d’adultère. Selon certains, cette partie des Écritures aurait été ajoutée ultérieurement. Bien que considérée comme la narration véridique d’un incident réel, sa place dans la chronologie du récit fait l’objet de discussions.
Voulant piéger Jésus, les scribes et les pharisiens lui amenèrent la femme adultère pour qu’il la juge. Elle avait été prise sur le fait – péché punissable de lapidation selon la loi de Moïse. Il faut noter quelques détails de la situation : d’abord, le compagnon de la femme demeure invisible, ensuite aucun témoin n’est appelé.
Avec une immense sagesse, Jésus se mit simplement à écrire dans la poussière avec son doigt. Les chefs religieux n’arrêtaient pas de poser des questions. Finalement, Jésus se redressa et invita ceux qui étaient exempts de péché à jeter la première pierre sur la femme. Il recommença ensuite à écrire sur le sol. Les chefs les plus âgés partirent d’abord, conscients que Jésus les avaient mis au pied du mur. Les plus jeunes s’éloignèrent en dernier, ne laissant que Jésus et la femme.
Jésus se releva encore en demandant : « Femme, où sont ceux qui t’accusaient ? Personne ne t’a-t-il condamnée ? Elle répondit : Non, Seigneur. Et Jésus lui dit : Je ne te condamne pas non plus ; va, et ne pèche plus » (Jean 8 : 3-11).
Qu’écrivit-il sur le sol ? Ce fut l’objet de bien des spéculations et personne ne le sait. Dans un sens, c’est ce qu’il dit et fit qui importe le plus. Jésus se montra plus avisé que ses ennemis, plus juste et plus clément, quoique soutenant totalement la place de la loi de Dieu dans la vie des hommes.
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