Dans la suite de notre étude de la Genèse, nous reprenons le récit biblique avec Nimrod et la tour de Babel, pour aller jusqu’à Abraham et au début de l’époque des patriarches.
Jusqu’à quel point un individu peut-il maîtriser les circonstances de son décès ? L’autonomie personnelle absolue est-elle, même dans la mort, l’aspect le plus important de la vie ?
Dans ce deuxième article de notre étude de la Genèse, nous allons suivre le premier périple de l’humanité, en partant de l’environnement idyllique du jardin d’Éden pour aboutir à la vie urbaine de la cité de Babylone, deux millénaires plus tard.
Ce numéro entame une nouvelle série ; cette fois, nous nous intéressons aux livres qui composent ce que nous appelons aujourd’hui l’Ancien Testament. Alors, comment ne pas débuter par « le livre des Origines », autrement dit la Genèse ?
Pourquoi Satan s’est-il rebellé contre Dieu ? Deux passages des Écritures hébraïques nous aident à comprendre en donnant des précisions : Ésaïe 14 et Ézéchiel 28.
Comment pouvons-nous être certains que les Évangiles qui figurent dans le Nouveau Testament sont à la fois authentiques et dignes de foi ? D’autres récits sur Jésus et ses premiers adeptes auraient-ils dû être ajoutés ?
Il est incontestable que, depuis quelque temps, notre rythme de vie s’accélère. Beaucoup pensent que ce changement serait lié à la technologie qui transmet des informations toujours plus facilement accessibles.
Ce qu’on oublie souvent en faisant campagne pour remplacer un gouvernement humain par un autre, c’est qu’aucun régime n’a offert de solution complète jusqu’ici.
Les scientifiques examinent le cosmos dans tous les sens, à la recherche d’une « théorie du tout » unificatrice. Pourtant, il y a un endroit où la plupart d’entre eux ne vont pas chercher.