Que pouvons-nous apprendre du livre de l’Ecclésiaste, avec ses points de vue changeants, ses apparentes contradictions et son expression de la futilité ?
Le livre de l’Apocalypse a suscité de nombreux malentendus et contresens au cours de la plus grande partie des deux derniers millénaires. Dans les articles qui suivent, Vision examine certaines de ces erreurs courantes, ainsi que les vérités encourageantes que recèle ce livre énigmatique.
Vers la fin du premier siècle, l’apôtre Jean a eu la vision de quatre cavaliers, chacun sur un cheval d’une couleur différente. Dans cette série en deux parties, Vision s’appuie sur la Bible elle-même pour interpréter ce passage fréquemment débattu.
Si l’on veut comprendre la signification des quatre cavaliers décrits dans l’Apocalypse, il faut un interprète fiable. Dans cette seconde partie, nous prolongeons notre regard sur la manière dont la Bible elle-même explique la vision énigmatique de l’apôtre Jean.
Alors que les derniers chapitres du livre des Juges rapportent la totale impiété dans laquelle les enfants d’Israël étaient tombés, le livre de Ruth relate un tout autre épisode au cours de la même période de l’histoire de la nation.
La signification des quatre cavaliers de l’Apocalypse et de leur symbolisme est discutée depuis longtemps. Pourtant, la Bible fournit elle-même l’explication.
Si l’on veut comprendre la signification des quatre cavaliers décrits dans l’Apocalypse, il faut un interprète fiable ; cependant, les explications des hommes manquent de clarté. Peut-être vaut-il mieux se fier à la Bible elle-même pour obtenir une interprétation exacte.
L’idée que l’histoire se répète n’est sans doute jamais mieux démontrée que dans le récit de la conquête de la Terre promise par Israël. Le livre des Juges rend compte de cycles d’obédience, désobéissance, conflit et délivrance, ainsi que des rapports de la jeune nation avec les peuples voisins et leurs dieux.
La quasi-totalité de la chrétienté professe que Jésus est ressuscité le premier jour de la semaine, et c’est sur cette conviction que s’appuie l’un des principaux arguments en faveur de l’assimilation du dimanche et du « jour du Seigneur », donc du jour auquel les chrétiens doivent se rassembler pour le culte hebdomadaire.
Dans la quasi-totalité du monde chrétien, le dimanche est, dans la semaine, « le jour du Seigneur » alors que Jésus-Christ, lui, observait le sabbat le septième jour. Quand et comment le changement s’est-il produit ?
Parmi les penseurs catholiques romains, Thomas d’Aquin se distingue par sa démarche d’intégration de la philosophie grecque dans les dogmes de l’Église, démarche qui a laissé une empreinte profonde et durable sur le monde chrétien.
La théorie quantique échappe à la plupart d’entre nous. Même les physiciens ont du mal à comprendre les choses que le bon sens dit impossibles. Si la foi en la science est jugée rationnelle, pourquoi la foi en Dieu ne l’est-elle pas ?
Rares sont les spécialistes de la Bible à être convaincus de la valeur historique du livre de Josué, qui relate la conquête du pays promis par Israël. Que nous dit la Bible sur cette période et pouvons-nous nous y fier ?
Dans les derniers chapitres du Deutéronome, lui-même étant le dernier des cinq livres de Moïse, l’homme qui a guidé les Israélites hors d’Égypte jusqu’au seuil de la Terre promise clarifie certains aspects des lois divines et des promesses et avertissements de Dieu à la nouvelle nation.
Les Israélites sont sur le point d’entrer dans le pays promis, lorsque Moïse leur rappelle leur histoire récente et les clés qui leur donneront accès aux bienfaits de Dieu.