Les auteurs du Nouveau Testament, comme Jésus lui-même, mentionnaient et citaient les Écritures hébraïques. Cette série explore la partie de la Bible que l’on appelle l’Ancien Testament ou « la loi, les prophètes et les écrits ».
Sur la pente qui allait le mener à sa chute, le peuple de l’ancien Israël croît en idolâtrie malgré les avertissements répétés des prophètes de l’époque. Il en résulte simplement ce que Dieu a promis.
Au huitième siècle avant notre ère, le prophète Osée annonçait des bénédictions, des malédictions, une captivité et un rétablissement ultime pour le royaume de l’Israël antique. Mais, en réalité, ces prophéties étaient bien plus anciennes.
Le royaume de Salomon a été divisé, mais la période des premiers souverains qui lui succèdent reste largement caractérisée par la traîtrise, la déloyauté et une idolâtrie grandissante.
Dans une suite de l’histoire agitée d’Israël pendant l’Antiquité, un roi David vieillissant s’afflige de l’accroissement de violence et d’intrigues entre ses enfants, mais transmet finalement la couronne à son fils Salomon.
Le caractère du roi David était multiforme. Comment se fait-il que malgré toutes ses faiblesses, Dieu pouvait encore l’appeler « un homme selon son cœur »?
Vers la fin du premier siècle, l’apôtre Jean a eu la vision de quatre cavaliers, chacun sur un cheval d’une couleur différente. Dans cette série en deux parties, Vision s’appuie sur la Bible elle-même pour interpréter ce passage fréquemment débattu.
Si l’on veut comprendre la signification des quatre cavaliers décrits dans l’Apocalypse, il faut un interprète fiable. Dans cette seconde partie, nous prolongeons notre regard sur la manière dont la Bible elle-même explique la vision énigmatique de l’apôtre Jean.
Alors que les derniers chapitres du livre des Juges rapportent la totale impiété dans laquelle les enfants d’Israël étaient tombés, le livre de Ruth relate un tout autre épisode au cours de la même période de l’histoire de la nation.
Si l’on veut comprendre la signification des quatre cavaliers décrits dans l’Apocalypse, il faut un interprète fiable ; cependant, les explications des hommes manquent de clarté. Peut-être vaut-il mieux se fier à la Bible elle-même pour obtenir une interprétation exacte.
L’idée que l’histoire se répète n’est sans doute jamais mieux démontrée que dans le récit de la conquête de la Terre promise par Israël. Le livre des Juges rend compte de cycles d’obédience, désobéissance, conflit et délivrance, ainsi que des rapports de la jeune nation avec les peuples voisins et leurs dieux.
Rares sont les spécialistes de la Bible à être convaincus de la valeur historique du livre de Josué, qui relate la conquête du pays promis par Israël. Que nous dit la Bible sur cette période et pouvons-nous nous y fier ?
Dans les derniers chapitres du Deutéronome, lui-même étant le dernier des cinq livres de Moïse, l’homme qui a guidé les Israélites hors d’Égypte jusqu’au seuil de la Terre promise clarifie certains aspects des lois divines et des promesses et avertissements de Dieu à la nouvelle nation.
Les Israélites sont sur le point d’entrer dans le pays promis, lorsque Moïse leur rappelle leur histoire récente et les clés qui leur donneront accès aux bienfaits de Dieu.