Au huitième siècle avant notre ère, le prophète Osée annonçait des bénédictions, des malédictions, une captivité et un rétablissement ultime pour le royaume de l’Israël antique. Mais, en réalité, ces prophéties étaient bien plus anciennes.
Vers la fin du premier siècle, l’apôtre Jean a eu la vision de quatre cavaliers, chacun sur un cheval d’une couleur différente. Dans cette série en deux parties, Vision s’appuie sur la Bible elle-même pour interpréter ce passage fréquemment débattu.
Si l’on veut comprendre la signification des quatre cavaliers décrits dans l’Apocalypse, il faut un interprète fiable. Dans cette seconde partie, nous prolongeons notre regard sur la manière dont la Bible elle-même explique la vision énigmatique de l’apôtre Jean.
La signification des quatre cavaliers de l’Apocalypse et de leur symbolisme est discutée depuis longtemps. Pourtant, la Bible fournit elle-même l’explication.
Si l’on veut comprendre la signification des quatre cavaliers décrits dans l’Apocalypse, il faut un interprète fiable ; cependant, les explications des hommes manquent de clarté. Peut-être vaut-il mieux se fier à la Bible elle-même pour obtenir une interprétation exacte.
Tant de sortes de prophètes et de prophéties ont échoué que beaucoup de gens ne se fient à aucun de ceux qui, religieux ou laïcs, affirment prédire des événements. Existe-t-il des prophéties fiables sur lesquelles on peut compter ?
Le problème du mal traverse les siècles : si Dieu est à la fois aimant et tout-puissant, pourquoi n’empêche-t-il pas le mal en ce monde ? Et ce qui est plus troublant encore pour beaucoup, c’est la raison pour laquelle, d’après le livre de l’Apocalypse, il s’engage lui-même dans une guerre totale. Comment comprendre le rapport de Dieu avec la violence ?
Après que Constantin ait adopté le christianisme romain, au 4ème siècle de notre ère, s’est développée l’idée selon laquelle l’Empire romain était la dernière monarchie avant l’arrivée du royaume de Dieu.